[Lyrics Album] Street Melody Freestyle Yeah Pt. 7

SangoFiV' & Zek - SUPER POWER

Tape des mains ! Tape des mains !

Super héros, super haut, super flow, en gros c'est super
Supporte nous ou alors faudra t'lever super, super tôt
J'sonne vrai comme un cri du cœur, frais comme un free d'Freezer,
Invite Zeker... et ça kick la prod du beatmaker
On vient pas sauver le monde, nous on vient sauver les femmes
Face aux drames, on t'baille au faciès, swagg d'hippopotame
Ton délire craint, j'vais pas passer par quatre chemins
Ça titille les chevilles comme Hulk contre un catcheur nain
Boule de feu, laser, de votre power j'ai pas peur.
L'genre de mec qui fait des oreilles de lapins au sniper !
Pour tout avoir tout d'suite, on fait pas comme Tootsi
Si Catwoman hérisse le poil, on lui rase la pussy
On est ni des p'tits thugs, ni le Glee Club
On va glisser sur la Lune comme Norrin et Kid Cudi
J'vois Zeker qui pète un cable sous le stroboscope,
Sky dans la main, le gars se pavane comme Robocop
Colle pas ton dos au grillage, il y a animal sauvage
Toutes les shneks de Turner, Silvestri dans mon sillage !
On est trop loin d'leur système, super nuage prêt à décoller
Allô la Terre, nous allons bientôt être coupé !

C'est SangoFiV' et Zeker
C'est nous qu'on a l'super power
Mais c'est normal que t'aies peur
Ta place est dans le camp des losers

J'ai une lumière verte dans ma bague, de l'adamantium dans le crâne
J't'assure que ce n'est pas une blague, je survis même quand mes os crament
J'ai trop le swagg de Peter Parker, de Black Panther, de Steve Rogers
Quand j'prends le mic, j'ai des SUPER POWERS
Tu nous connais maintenant, notre super groupuscule
Le morceau est si lourd qu'on a écrit le titre en majuscules
Et on se pavane, comme le Joker à Gotham
T'as reconnu le gueuta, un gros S rouge dans un penta
C'est Zek et SangoCinq, kiffe Karen Starr et ses gros seins
Kiffe Lara Croft et ses gros seins, kiffe Jessie Drew et ses gros seins
C'est pas Jeudi Confession, mais j't'avoue un truc mon gars
J'veux tellement en placer une pour Busta, Kells et Soukaina
Les rageux m'appellent, ils me font de la peine
Qu'ils me foutent la paix, c'est pas l'jour de la paye
Quand on a l'power, on s'moque de toutes ces bandes de zéros
Les vrais savent que les choses se passent dans le choc des héros

C'est SangoFiV' et Zeker
C'est nous qu'on a l'super power
Mais c'est normal que t'aies peur
Ta place est dans le camp des losers

Silhouette dans la nuit...
Un espoir dans ta vie....
Un bon gendre pour ta fille...

Chez tous tes marchands d'journaux
Retrouve tous tes super héros
Nos pouvoirs c'est du sur-sur-cheaté

Vas-y répète

C'est SangoFiV' et Zeker
C'est nous qu'on a l'super power
Mais c'est normal que t'aies peur
Ta place est dans le camp des losers
Des losers... des losers... des losers...

Des putains d'losers
Motherfuckin' loooosers !

[Outro de Tony Stark]

Zek - J'voulais vraiment (prod Mals'1)

J'te présente le délire, moi c'est Zek et j'viens de Lille
Mon truc à moi c'est les gros beats et puis les vaudevilles
J'avais arrêté le rap car j'avais plus grand chose à dire
Vous voyez c'que j'veux dire car tous vos textes sont merdiques
Vous parlez pour que dalle, mais putain qu'est-ce que j'm'ennuie
Si on meurt tous un jour, alors sache que j'vivrai la nuit.
Ouais les mecs, 2011, plus envie d'mettre le onss
Leur hip-hop c'est bidon, ferme ta bouche, tu t'enfonces
A la radio, sérieux, c'que j'entends c'est désolant
Les gars attendent leur 30 ans pour rapper comme des enfants
Et les rares qui leur disent, boycott par les maisons d'disques
Du coup je télécharge, nique sa mère Hadopi
Nique sa mère Adobe, bande de bandits numériques
La vie d'artiste c'est trop cher, j'ai pas d'instrument d'musique
Où sont passés tous nos rêves? Ils sont plus en Amérique
Ils peuvent pas être en Afrique, les miens sont aux Assedics

J'voulais vraiment faire du rap, mais à quoi bon aujourd'hui ?
Trop peu de gens différencient un bon son d'un truc tout pourri
Ils veulent du rap pour rigoler, elles veulent du rap pour danser
Désolé d'vous déranger, j'voulais faire du rap pour penser
J'voulais vraiment faire du rap, mais à quoi bon aujourd'hui ?
Trop peu de gens différencient un bon son d'un truc tout pourri
Ils veulent du rap pour rigoler, elles veulent du rap pour danser
Désolé d'vous déranger, j'voulais faire du bon rap français

Comment commencer ce couplet ?
Depuis longtemps sont refermées mes plaies
Personne ne m'a appelé, alors c'est seul que j'continue à presser Play
Ces quelques lignes, appréciez-les
J'pensais avoir trouvé la paix, rangé l'épée
Ne plus avoir grand chose à faire dans le R.A.P.
J'me cache derrière des blagues et des rires moqueurs
J'ai mis du papier bulles tout autour de mon cœur
Mon cœur, parce que ça sonne si faux dans ma bouche
Parce que j'sais déjà que j'serai mal à l'aise si elle me touche
La vie est belle et j'te jure que c'est vrai
Et pour bien m'en rendre compte, je m'en suis sevré
Me retrouvant là avec vous sans savoir ce qu'il me manque
En les croyant tous ces gens bien que je sache qu'ils me mentent
Un tyoe de plus qui philosophe avec quelques grammes dans le sang
Qui sait très bien qu'il ne fera jamais carrière dans le son
Portrait mélancolique mais qui fait plaisir à conter
J'ai appris à écrire mais j'veux pas savoir compter

J'voulais vraiment faire du rap, mais à quoi bon aujourd'hui ?
Trop peu de gens différencient un bon son d'un truc tout pourri
Ils veulent du rap pour rigoler, elles veulent du rap pour danser
Désolé d'vous déranger, j'voulais faire du rap pour penser
J'voulais vraiment faire du rap, mais à quoi bon aujourd'hui ?
Trop peu de gens différencient un bon son d'un truc tout pourri
Ils veulent du rap pour rigoler, elles veulent du rap pour danser
Désolé d'vous déranger, j'voulais faire du bon rap français

Takamori - Tu frappes dans tes mains (prod Tar-T)

Ne crois pas te défendre en criant fort nique la police
L'homme est toujours préhistorique donc je n'ferai pas d'anachronisme
Ici l'esprit est plus lucide trempé dans l'alcoolisme
Car il s'détache des clichés inspirés par le consensus
Social, un peu comme Boulogne sans putes
J'm'en tapes du copyright t'as qu'à pomper tu seras mon messager
Moi j'regarde le passé et l'futur qu'il laisse présager
J'éteins mon poste de télé, hermétique aux discours pré-machés
Des mecs dénoncent les radios et leurs carottes
Mais font la promo d'leur sons sur des sites comme skyrock
Parlent de sincérité au fond c'est d'la parlotte
Gagnent en crédibilité puis deviennent des salopes
Les gens s'disent authentiques mais l'écrivent avec un k
Se disent généreux puis te donnes le tier d'un quart
Certains résument leurs vies par des slogans sur leur T-Shirt
Genre "la vie est un jeu", j'les ait traîté d'tricheurs

Refrain :
Toujours la même ambiance malsaine
Regarde le diable est sur la scène
Et de tout ça t'en es témoin
Mais toi tu tapes dans tes mains

Toi t'apprends à t'relever quand moi j'apprends à n'pas tomber
J'dis ça pour toi, j'suis pas en train d'm'la raconter
N'y vois pas qu'de la bonté mais regardes comme c'est con ça
Un ptite subtilité et t'es paré aux conséquences
J'commence à croire en Dieu voyant les traces du sheitan
Comme si la terre était sa scène et les gens tous ses fans
Tout ton fric tes épargnes, tout s'effrite et s'écaille
Comme si les grands restos, n'avaient qu'du poisson pané
Regarde les gosses s'y perdent, mattent des Walt disney
S'demandant quand Minie et Mickey vont niquer
L'esprit perverti, par les clips d'MTV
Moi j'te l'permet ptit, défonces-moi cette putain d'TV
Le savoir est une arme et tu l'répètes souvent
Mais tu dors dans l'fond d'la classe et depuis un bout d'temps
Ne t'crois pas à contre courant en faisant le cancre à l'école
C'est justement c'qu'ils veulent et qu'tu t'mettent à parler d'drogues

Refrain

Dire qu'la France est une pute métaphorise la vérité
J'fais qu'évoquer l'patrimoine, dont j'n'ai fait qu'hériter
Tu l'aimes ou tu la quittes nan on parle pas d'ta femme là
J'ai pas demander à naître ici donc t'en as pas l'droit
Pour t'présenter ici faut d'abord dire c'que tu n'es pas
Enlever tes étiquettes, potentiellement néfastes
Qu'on t'a collé à la face, pas d'bénéfice du doute
Ils veulent de toi un semblable, un mouton et puis tu broutes
Ce mode de vie engraîne des problèmes médicaux
Mattent ils comparent la taille d'leurs organes génitaux
Ces gens-là s'mordent la queue au sens propre comme au figuré
On s'fout du CAC 40 t'en qu'ça pèse pas sur le prix du lait
Vu où passe l'argent d'l'Etat pendant la crise
J'me dis qu'le braquage de banque est un acte légitime
On nous martelle de merde de midi à minuit
Et pourquoi ça changerait puisque toi t'applaudis

Refrain X2

Rimes Catcher - "Un enfant avec des pouvoirs" (prod. 6-Heaven)

En ronde
tout autour de moi,
Les autres me montrent du doigt,
moqué, frappé,
à longueur de journée

J'suis la risée, scolarisé,
dans la cours de récré,
J'suis méprisé, stigmatisé.

Les pupilles dilatés,
je vois le vice dans leur yeux
je tiens mes larmes, comme je le peux,
J'ai tant de colère, tant de feu,

Un voeux,
celui de me vanger de ceux
qui me tyrannisent pour le jeu,
Ces petites brutes, qui m'insultent

Je lutte,
pour retenir mes pouvoirs
Personne ne doit savoir,
de quoi je suis capable,

Ma cape est au placard,
mon masque est à la cave,
Pendant qu'ils me passent à tabac,
j'essaie de rester calme

Moi l'implacable, je m'écrase face à des rois de bac à sable
je dois garder le secret, en permanence rester discret,

Jamais, je n'agis à des fins personnelles,
Mon maître à penser est formel,
Les tours de magies,
Je les garde pour les criminels.


Refrain :
La nuit,
j'enfile mes collants
je pars sauver des innocents,
Même si je ne suis qu'un enfant
La nuit,
On me respect, et on m'acclame,
Je suis le héros qu'ils réclament.
Quand le diable débale ses flammes

Le jour,
Je dois toujours faire profil bas,
me noyer dans la masse
Parmi mes camarades de classe.
Beaucoup rêvent de me capturer,
Pour m'étudier me disséquer,
Je suis une bête de foire, un enfant avec des pouvoirs




A table,
Un banal soir chez moi,
encore un diner agité,
ou mon beau-père s'met à crier,

Il se ressert une bière,
parait basculer en arrière,
Dans son équilibre incertain,
Me traite de bon à rien

Ma mère
ne cesse de répéter,
qu'elle aurait mieux fait d'avorter.
qu'à cause de moi elle est coincé

Mon demi-frère lui,
me tire des coups 'de pieds sous la nappe,
dans mes genoux ensanglanté,
je tremble en encaissant ses frappes.

J'aimerais m'envoler sous leurs yeux,
Ou lancer quelques boules de feu,
Dévoiler mon visage,
Sous mes faux airs d'enfant sage.

Mettre fin à l'enfer,
Que l'on me sert en permanence,
Mettre les choses au clair,
en me servant de ma puissance

Mais je ne peux qu'observer,
être docile et bien élevé,
Sur moi ils peuvent s'énerver,
Tant que la nuit, j'peux m'évader,

Par ma fenêtre pour re-naître,
Dans cet être, qui veut remettre,
sur la planète, les malhonnêtes
Aux oubliettes, pour perpét'



Refrain :
La nuit,
j'enfile mes collants
je pars sauver des innocents,
Même si je ne suis qu'un enfant
La nuit,
On me respect, et on m'acclame,
Je suis le héros qu'ils réclament.
Quand le diable débale ses flammes

Le jour,
Je dois toujours faire profil bas,
me noyer dans la masse
Parmi mes camarades de classe.
Beaucoup rêvent de me capturer,
Pour m'étudier me disséquer,
Je suis une bête de foire, un enfant avec des pouvoirs



En bas
dans la cours de l'école
les professeurs poussent des cris,
me prient d'attendre les secours...

Après des mois d'humiliation,
Lasser de la situation,
J'ai dû prendre la décision,
d'y mettre fin sans concession

Vider de ma foi,
Autrefois sans faille,
Sans espoir je me paye,
Un évènement de taille,

Pour faire tomber le masque,
Et que les railleries s'en aille
Pour Soigner cette entaille
Qui toujours me tiraille,

Je me prépare à mon envol,
devant la foule qui s’affole
J'observe sur le sol
Ses trolls qui se colle

Finit les farandoles,
Les anges ont posé l'auréole,
Dans cette pause mes bourreaux,
Tiennent leur souffle sans un mot.

En costume je m'avance,
vers la gouttière pour décoller
Ma mère vient d'arriver,
masquer de son air désolé,

Tout le monde est paniqué,
à l'idée de me voir plonger,
Rongé par les remord,
mes tortionnaires sont accablés...


Je compte sur mes doigts,
juste avant de quitter le toit,
Un deux trois...

Rimes Catcher - "Un vaccin contre la haine" (Prod. Tar-T)

-J'arpente les rues d'la ville à la recherche de quelques vilains,
quelques civiles hostiles avec du sang sur les mains,
depuis des décennies, tout est trop tranquille, rien ne vient,
et je deviens sénile à l’affût du moindre larcin...
-J'ai le spleen du héros, le dos courbé par la déception,
Un disque mélancolique, plante le décors de ma dépression,
je voulais faire le bien, mettre les malfaiteur au frais,
Mais le vice se fait rare, dans mon quartier, sur mes trottoir,
-Tout est lice et le soir, sans meurtrier, y'a pas d'histoire,
Pas d'éclipse, tout est clair, pas l'esquisse, d'un éclair,
Pas d'orage, au tableau, pas une ombre, dans mon scénario,
Pas de rage, pas d'accroc, juste une colombe, qui chante adagio,
-Ici tout est si calme, j'ai du mal à trouver ma place,
Je m'efface, lassé de cette impasse sans menace,
Pas de casse à main armer, pas de trace de fer froissé,
Pas de place pour bosser, pas ruelle malfamée...
-Affamé, de méfait,
j'aimerais un malfrat à me mettre sous la dent,
J'attends, mais jamais rien de croustillant, des honnêtes passant,
au kilomètre se rependent, c'est barbant, un monde transparent,
sans vacarme le silence semble fade, sans alarme, l'ambulance n'est qu'un vanne sans vie,
Véhiculant l'ennuie,
je sais, mes pensées sont malsaine, mais comprenez un peu ma peine, à quoi je sert moi sur une terre vidée de haine ?


-On aime la lumière quand elle jaillit de l'obscurité,
mais dans un plein soleil on a tendance à l'oublier
Moi qui était si fier d'exercer mon métier,
d'être un super héros comme dans les bandes dessinées,
-Destiné à combattre le mal je m'obstine,
je refuse de changer de voie,
Chaque soir, sur les toits, je travaille d'arrache pied,
pour trouver enfin la faille, maléfique, une bataille héroique,
mais rien à faire,
-l'enfer, se terre, et j'ère sans savoir trop quoi faire,
Sur terre plus de colère depuis que les gosses ingèrent,
Ce cachet révolutionnaire, que les scientifiques nous servent,
depuis maintenant des millénaires,
un vaccin de routine qui détruit l'agréssivité,
alors les hommes cheminent, sans vie dans la passivité,
La vie n'a plus d'épine, plus de piment, tout est sans danger,
les politiques s'activent, pour imposer la sécurité,
le précautionnisme est devenue la normalité,
Je n'suis plus qu'un vestige, le témoin d'un très vieux passé,
mon costume oblige, les gens aiment bien me photographier,
Ils ont vu dans des films, les exploits de mes ainers,
Aujourd'hui le crime, on ne le voit qu'à la télé,
Au chomâge technique, ma génétique me pique,
frénétique j'ai une critique envie de quitter,
ce monde automatique ou il faut un tiquet pour critiquer,
Étriquer, asphyxié, j'ai trop besoin de me défouler,
Il doit bien rester, un pervers à démasquer,
qui rêve de tout faire sauter,
je refuse de me résigner
même si les héros ont besoin de la haine pour exister.

Rimes Catcher, Difé, Zarmot - Passionnés (prod Rimes Catcher)

Rimes Catcher
J'ai pas la recette, pas la formule mathématique,
Pas l'envie d'faire recette, juste de traiter ma thématique,
Un stylo bic, ou quelques cliques sur un clavier informatique,
Juste un déclic qui dans ma tête fait tilt, j'écris mon titre.

J'pratique l'écriture comme un jeu dans lequel je miserais ma vie,
j'tourne la roulette, je ferme les yeux, et prie pour que les mots rappliquent,
J'suis pas un as, mais j'ai du choeur, La banque j'la casse, Je suis joueur,
Au Casino sans cash, ni carte de crédit, j'relance la partie, d'une liasse de poésie.

Je met du verbe sur le tapis, une' suite que tu n'attendais pas,
Carte sur table, j'écarte les phrases passable, les passages qui sonnent bac à sable,
quitte à m'accabler je regratte le papier jusqu'à ce qu'il me semble valable.
Je pioche un tempo qui décolle, à chaque morceau c'est quitte ou double,
j'm'en fou d'être une machine à sou, j'veux pas cracher des mots idiots qu'on m'aurai pré-mâcher,
je préfère cent fois lâcher les foules que de tricher pour m'en mettre' plein les fouilles.


Difé
Ok, prend un bic. Dans quoi tu te sens impliqué ?
Ton cerveau chauffe au, contact de quelle problématique ?
Dans ton casque tape un kick et, un snare. Bref, un beat.
Et tu grattes, le papier, jusqu’à c’que ta tête soit vidée.
Un peu de folie pour exploiter tes idées.
Donne tout c’que t’es, tout c’que t’as, y a pas d’place pour hésiter.
Prend l’temps, de taffer l’écriture pour que ça
Rentre dans, les différents critères qui font qu’tu kiff
Un son. Prend le micro sans,
Te retenir. Pire, vit ta musique, faut qu’elle t’ressemble.
Mais surtout kiff ça quitte, à ne plus vivre sans zik.
Pour m’endormir je tape un rythme sur le bord d’mon lit.
Le rap est l’amour de ma vie. Musique est l’amour de ma vie.
Car sans elle dans la mienne c’est tout comme sans lui dans la tienne. Fade !
T’es falsh, ça s’entend. ‘Tain, quel intérêt ?
Rimes Catcher, Zarmot, Difé. Nos sons ont nos ADN.



Zarmot
J'te conseil de faire ça comme ça vient et pas comme ça vend
Pour cette solution, pas besoin d'être savant, tu te met à poil et tu rap pour du savon
Dans ce domaine y'en qu'on du talent mais c'est des wacks tu les reconnais aux talons
Passons, tu peux trouver l'inspiration dans l'futur, le présent, le passé
Dans ton imagination, dans c'que tu vois et c'que tu fais
Prouve à l'auditeur, au beatmaker que ça t'fais kiffer, vibrer
Que t'es la pour vider, des cartouches d'encre !
Tu va peut être y perdre du temps mais si t'as l'amour du truc faut qu'tu tente !
Si t'es la pour des "baby baby" fous moi l'camp !
C'est ce genre de connerie qui font parler les cons, cacher les bons
J'te dis pas qu'il faut cracher des bombes d'és l'début
Mais si t'es honnête, au final ton morceau tu l'déguste
Fais ça en solo ou entre pote, brise les frontières, ont fait du rap sur une instru rock
Tu seras tenté de lâcher des mother fuck !
Parce que cette musique c'est aussi un sac de frappe
J'suis un passionné pas un business man qui rêve de fnac
Mais dans les rayons y'a pas qu'des fake, y'en à qui bosse la musique, le texte
Bref avec Rimes Catcher et Difé, ont t'a montré comment faire, c'qui nous fais kiffer !