[Lyrics] Dixon - Multitudes
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[Lyrics] Dixon - Multitudes
Artiste : Dixon
Track : Multitudes
Album : Symptômes volume 1
Année : 2011
Les rideaux bougent, les fenêtres et les halls me regardent
J’attend qu’mon cul se bouge tout seul comme si je croyais au Poltergeist
J’ai pris un drôle de retard, je tient à mon bras, ma triste vie
Une garce fripée pleine de prises de risques
Je promet qu’elle connais bien encore quelques tours
Mais le poste music hall me recale en pleine crise de rires
Parce que je n’suis qu’de ceux qui faussent leur cave
Parce que le droit de vie, de mort est en celui qui fixe le prix
Le vacarme ne m’arrête pas
Pour m’ouvrir je ne trouve pas l’espace
Je joue à monsieur tout le monde dans de simple costumes
Où je me change en bombe, où je me consume
Où je me consume
Gosse de la périphérie, je vise le centre
Ma vie ne tient qu’à c’t’idée vide de sens autant qu’à 5 litres de sang
J’t’arrache des mains tout c’que j’mérite de prendre
Et peu m’importe de grossir les rangs de ceux que le sheriff veut pendre
J’attend la crise cardiaque, qu’une ex hystérique se venge
Plutôt que d’trouver le moyen pour que mes rimes se vendent
De toute façon c’est la crise devant, j’suis un con de mon époque
Alors je vais suivre le vent et bouffer des trucs qui me détruise le ventre
Penser à ma pomme, donner moins de blé aux femmes
Ais-je midi à ma porte, ou un témoin de Jéhovah?
J’prend ce que le Diable m’apporte et attend que le très haut me parle
Mon âme lui a couté qu’le prix d’un leggings léopard
J’fais l’acteur et je compte tout les points
Je comprend pas la Terre est ronde, mais y a quand même des cons dans tout les coins
Siècle de prédateurs qui colle nos corps au siège
Et des magnets bébé à bord sur les congélateurs
Le vacarme ne m’arrête pas
Pour m’ouvrir je ne trouve pas l’espace
Je joue à monsieur tout le monde dans de simple costumes
Où je me change en bombe, où je me consume
Où je me consume
Je suis couleur vert dollar, j’crée des pré pubères taulards
Hé yo, vous me reconnaissez? C’est moi super connard
Quand sur l’espoir tu fonde ton calcul
Tu n’laisse pas de traces dans l’Histoire, mais au fond de ton calbute
Un faux pas, tu perd ton âme mais je vide quand même mon Safari
Jusqu’à ce que le cougar défonce mon pare-buffles
Ça me fais sentir en vie bordel
L’alcool tue, fumer tue, comme si rester sobre allais me rendre immortel
Je sais pas si je réveille les bonnes douleurs
Mais je suis pas sûr que vos bouquins m’aient fait gober les bonnes couleuvres
Quand t’es au fond du gouffre, et que tu souffre
C’est un luxe de vérifier si les mains qui se tendent sont de la bonne couleur
J’ai besoin de rien, j’ai eu le choix entre avoir bonne mémoire et être génial
Mais j’sais plus ce que j’ai choisi, je ne me souviens de rien
Tremblement de ter-ter, les mecs du bitume titubent
Ecoute à travers mes textes hurler les multitudes
Le vacarme ne m’arrête pas
Pour m’ouvrir je ne trouve pas l’espace
Je joue à monsieur tout le monde dans de simple costumes
Où je me change en bombe, où je me consume
Où je me consume
Les tracas ne m’arrêtent pas
Pour mourir je ne trouve pas l’espace
Je joue à monsieur tout le monde dans de simple costumes
Où je me change en bombe, où je me consume
Où je me consume, où je me consume
« la loi c’est moi, et l’ordre »
« on est pas le meilleur quand on le croit, mais quand on le sais »
Track : Multitudes
Album : Symptômes volume 1
Année : 2011
Les rideaux bougent, les fenêtres et les halls me regardent
J’attend qu’mon cul se bouge tout seul comme si je croyais au Poltergeist
J’ai pris un drôle de retard, je tient à mon bras, ma triste vie
Une garce fripée pleine de prises de risques
Je promet qu’elle connais bien encore quelques tours
Mais le poste music hall me recale en pleine crise de rires
Parce que je n’suis qu’de ceux qui faussent leur cave
Parce que le droit de vie, de mort est en celui qui fixe le prix
Le vacarme ne m’arrête pas
Pour m’ouvrir je ne trouve pas l’espace
Je joue à monsieur tout le monde dans de simple costumes
Où je me change en bombe, où je me consume
Où je me consume
Gosse de la périphérie, je vise le centre
Ma vie ne tient qu’à c’t’idée vide de sens autant qu’à 5 litres de sang
J’t’arrache des mains tout c’que j’mérite de prendre
Et peu m’importe de grossir les rangs de ceux que le sheriff veut pendre
J’attend la crise cardiaque, qu’une ex hystérique se venge
Plutôt que d’trouver le moyen pour que mes rimes se vendent
De toute façon c’est la crise devant, j’suis un con de mon époque
Alors je vais suivre le vent et bouffer des trucs qui me détruise le ventre
Penser à ma pomme, donner moins de blé aux femmes
Ais-je midi à ma porte, ou un témoin de Jéhovah?
J’prend ce que le Diable m’apporte et attend que le très haut me parle
Mon âme lui a couté qu’le prix d’un leggings léopard
J’fais l’acteur et je compte tout les points
Je comprend pas la Terre est ronde, mais y a quand même des cons dans tout les coins
Siècle de prédateurs qui colle nos corps au siège
Et des magnets bébé à bord sur les congélateurs
Le vacarme ne m’arrête pas
Pour m’ouvrir je ne trouve pas l’espace
Je joue à monsieur tout le monde dans de simple costumes
Où je me change en bombe, où je me consume
Où je me consume
Je suis couleur vert dollar, j’crée des pré pubères taulards
Hé yo, vous me reconnaissez? C’est moi super connard
Quand sur l’espoir tu fonde ton calcul
Tu n’laisse pas de traces dans l’Histoire, mais au fond de ton calbute
Un faux pas, tu perd ton âme mais je vide quand même mon Safari
Jusqu’à ce que le cougar défonce mon pare-buffles
Ça me fais sentir en vie bordel
L’alcool tue, fumer tue, comme si rester sobre allais me rendre immortel
Je sais pas si je réveille les bonnes douleurs
Mais je suis pas sûr que vos bouquins m’aient fait gober les bonnes couleuvres
Quand t’es au fond du gouffre, et que tu souffre
C’est un luxe de vérifier si les mains qui se tendent sont de la bonne couleur
J’ai besoin de rien, j’ai eu le choix entre avoir bonne mémoire et être génial
Mais j’sais plus ce que j’ai choisi, je ne me souviens de rien
Tremblement de ter-ter, les mecs du bitume titubent
Ecoute à travers mes textes hurler les multitudes
Le vacarme ne m’arrête pas
Pour m’ouvrir je ne trouve pas l’espace
Je joue à monsieur tout le monde dans de simple costumes
Où je me change en bombe, où je me consume
Où je me consume
Les tracas ne m’arrêtent pas
Pour mourir je ne trouve pas l’espace
Je joue à monsieur tout le monde dans de simple costumes
Où je me change en bombe, où je me consume
Où je me consume, où je me consume
« la loi c’est moi, et l’ordre »
« on est pas le meilleur quand on le croit, mais quand on le sais »
Rest6927- Newbie
- Nombre de messages : 15
Age : 32
Localisation : Belgique
Date d'inscription : 13/09/2011
Re: [Lyrics] Dixon - Multitudes
Un très bon texte pour ma part, plein de références, tout s'enchaine bien, et avec sa voix et son flow ça prend plus d'ampleur. Bon son, bonne prod'.
Zaibacker- Commercial chez Ricard
- Nombre de messages : 8668
Age : 39
Localisation : Saint-Herblain (44)
Date d'inscription : 26/06/2008
Re: [Lyrics] Dixon - Multitudes
des trucs grillés genre le bébé dans l'congel, la tour est ronde, les connards dans les coins et puis des trucs cools mais bancals genre son trip sur la memoire ou etre genial qui s'annule tout seul.. enfin bref, vais pas refaire le topik de l'album mais en fait.... a coté de ca, c'est quand meme un son que j'ecoutais, que j'aime bien, ca passe
dub- Double.D'prod
- Nombre de messages : 17933
Age : 38
Localisation : L'appart' 3 du batiment B dans le secteur 12.A
Date d'inscription : 22/05/2006
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